Le droit de se trouver beau

Cinquante ans et plus, côté miroir, c’est un peu l’âge fatal. On remarque ce qu’on ne voyait pas avant – au choix : une cabine avancée à la place du ventre, un cou de pélican sous le sautoir et des ailes de chauve-souris les bras levés – et, parfois, ça nous dérange. De là à passer sur le billard pour gommer ce que l’on perçoit comme des “atrocités”, il y a un pas que beaucoup n’osent pas franchir. La peur du bistouri et le regard des autres sur la chirurgie esthétique y sont pour beaucoup. PartAge a pourtant identifié 3 raisons qui pourraient vous aider à vous sentir mieux. Découvrez-les ci-dessous !

 

  • Le bistouri, c’est fini !
    Les avancées médicales de ces dix dernières années ont remisé au placard l’antique lifting remontant bien haut derrière les oreilles. La médecine esthétique (et non la chirurgie) permet aujourd’hui des actes beaucoup moins invasifs et sans anesthésie, comme par exemple la pose de fils tenseurs pour lisser les rides, l’utilisation du laser sur les pattes d’oie sans perturber le cycle de vieillissement naturel de la peau, ou encore la cryolipolyse pour se débarrasser de bourrelets apparus sur le tard. Même les injections font profil bas du côté de la seringue ! Votre seule préoccupation : choisir un professionnel de confiance et fuir les charlatans qui font florès en repulpant les lèvres des ados influencé(e)s par les réseaux sociaux.

 

  • C’est bon pour le moral
    Nez ingrat, peau fripée, tâches cutanées que l’on camoufle maladroitement … : nombreux sont les “petits défauts” avec lesquels on peut avoir du mal à vivre ou cohabiter. S’il est réfléchi, le choix d’un acte esthétique visant à les corriger vient aussi réparer une blessure psychologique. Adieu le complexe, bonjour le bien-être et l’estime de soi retrouvée !

 

  • Le tabou au vestiaire
    Il fut un temps (que vous avez connu!), où le moindre passage sur le billard pour quelques sillons regonflés devait impérativement être classé secret défense. Certes, les hommes cédant aux sirènes des injections et autres discrètes corrections sont encore rares ! Mais, entre femmes quinquagénaires, on n’hésite plus à en parler comme du dernier body à la mode. Mieux : on fait ouvertement de la pub au génie qui a boosté notre confiance en nous !

Vous ne vous en sortirez pas comme ça. Pour en savoir plus, PartAge vous conseille :

Oui – trois fois “oui” – vous avez le droit de vous trouver beau !