4 idées reçues sur les bonnes résolutions

On vous voit venir de loin… Arrêter de fumer, se coucher plus tôt, sortir moins, marcher plus, ne pas penser qu’aux autres, éteindre son portable après 20h00… : c’est la même rengaine à chaque rentrée. Reste à savoir si notre cerveau de quinquagénaire a encore l’âge d’intégrer ces changements d’habitude. Avant que vous ne vous lanciez dans une vie d’ascète, PartAge a enquêté pour vous !

  • Moins on en prend, plus on réussit. VRAI
    Le cerveau ayant ses habitudes (bonnes ou mauvaises), il se montre récalcitrant au changement. En évitant de placer la barre trop haut, on met donc toutes les chances de son côté. Idéalement, mieux vaut se concentrer sur 2 résolutions (3 maximum) et se fixer un objectif dans le temps. Typiquement : “Cette année, je me mets à la méditation” ne fera jamais le poids face à “Chaque mercredi de septembre, je m’installe 10 minutes en lotus sur le parquet”. P.S. : votre agenda est fait pour ça.
  • Il faut apprendre à gérer la frustration. FAUX
    Le secret, c’est le sens des réalités. Une coupure brutale avec ce qui donne du plaisir et fait monter en flèche la dopamine peut très vite décourager les plus volontaires. Alors qu’en remplaçant ce sur quoi on fait une croix par d’autres “péchés mignons” plus avouables, on s’offre un sas de compensation non négligeable pour occuper son cerveau. Réfléchissez donc en amont à vos jokers potentiels.
  • Mieux vaut ne pas être trop optimiste. VRAI
    À trop se surestimer en pariant sur un avenir radieux sans tabac, sans alcool, mais avec beaucoup de discipline et de tentations refoulées, on en oublie son propre côté faillible. Les pros des neurosciences appellent ça “le biais d’optimisme”, à l’origine de nombreuses rechutes, surtout une fois que la période du “zéro tout” semble acquise. L’astuce : trouver le bon équilibre entre confiance en soi et aveu de faiblesse(s).
  • Surtout, ne rien dire à personne ! FAUX
    Pour atteindre ses objectifs, la complicité du reste du “groupe” (amis, famille, collègues…) est un soutien précieux. On a même vu certains becs sucrés prévenir leur boulanger-pâtissier, c’est dire! Personne ne vous attend au coin du bois : tous sont là pour vous encourager… même en cas de défaillance ! Pour les plus joueurs, rendez-vous sur www.stickK.com, un site grâce auquel on peut signer un contrat d’engagement avec soi-même et bénéficier du support de toute une communauté d’internautes fière de vos objectifs. En option : la possibilité de miser de l’argent sur sa propre réussite…