3 idées reçues sur la sexualité après 50 ans

Depuis quand la libido prendrait-elle sa retraite au motif que l’horloge tourne ? Allons, allons, les baby-boomers ne mangent pas de ce pain-là ! Encore moins s’ils sont célibataires. Après avoir épluché moult études et ratissé toutes ses archives, PartAge et DisonsDemain sont en mesure de vous annoncer que le sexe occupe une place importante dans la vie des 50+. Un prétexte tout trouvé pour tordre le cou aux idées reçues en la matière et vous ouvrir les yeux sur les multiples perspectives d’épanouissement qui s’ouvrent (encore) à vous…

PRIMO : Plus de bougies, moins de tabous
Selon une récente étude relayée par le site de rencontres DisonsDemain, 1 célibataire de plus de 50 ans sur 2 n’éprouve aucune gêne à parler de sexe lors d’un premier rendez-vous. Après avoir connu la “grande époque” de la libération sexuelle, cette génération décomplexée évoque cet aspect de la relation sans vrai tabou, assumant le fait qu’il contribue à l’épanouissement du couple… même en devenir ! Pas question pour autant de batifoler dans les grandes largeurs dès le 1er soir (à 65%). Par contre, après deux ou trois tête-à-tête, les feux passent vite au vert.

DEUXIO : Une dînette, mais pas seulement
Que ce soit grâce à DisonsDemain ou aux voisins qui vous présentent “l’ami(e) -d’un(e) ami(e)-d’un(e) ami(e)”, retrouver l’amour après 50 ans, c’est avant tout nourrir le désir ardent de partager des passions communes et des moments de complicité plus cérébrale que physique. Pour autant, 85% des célibataires du même âge considèrent le sexe comme l’un des socles essentiels à une relation épanouie. En tête de peloton : les femmes, plus sereines et plus libres dans leurs façons d’exprimer leurs désirs.

TERTIO : Les quinquas, c’est pas la cata
Entre l’appréhension parfois délicate de la ménopause pour les femmes et la crainte de moins plaire chez les hommes, la bagatelle version 50’s est encore trop souvent associée à l’image d’un désert absolu. L’envie d’en découdre sous la couette, de prendre soin de soi, de l’autre et de son plaisir n’ont pourtant pas à rougir de la fougue de nos 20 ans. Vieillir sans sacrifier ses désirs, c’est aussi apprendre à faire l’amour différemment.