Les 5 “merci” de vos poumons

Après 50 ans, les sensations d’essoufflement – lors d’efforts minimes ou de crises d’anxiété, par exemple – peuvent être légion. Logique : le tonus cardiaque et respiratoire n’a rien de comparable avec celui de nos jeunes années ! Avant même d’entrer dans l’hiver et d’enrouler son écharpe XXL autour du cou, chouchouter ses poumons passe par 5 secrets salutaires. Et le numéro 4 va en surprendre plus d’un …!

  1. “Merci … de purifier l’air”
    Les poumons n’aiment rien tant qu’un logement chauffé à 19°C maximum (tant mieux pour la facture), aéré en grand quotidiennement (10 minutes pour chaque pièce) et exempt de moisissures (de nombreux micro-champignons sont à l’origine de certaines maladies respiratoires). Pour chasser les virus, vive le froid et l’air neuf ! En revanche, ne pas fermer la porte au chauffagiste, qui se fera un plaisir de réviser – tous les 2 ans – les appareils grâce auxquels chacun hiberne sereinement.
  2. Merci… d’arrêter de fumer”
    PartAge n’allait quand même pas laisser passer le “mois sans tabac” en faisant l’impasse sur ce traditionnel rappel à l’ordre. En écrasant votre dernière cigarette le jour de vos 50 ans, vous gagnez 6 ans d’espérance de vie. À 60 ans, deux fois moins…
  3. “Merci… de faire du sport en salle”
    Indispensable au maintien d’une forme optimale, une activité physique quotidienne (ne serait-ce que 15 minutes d’aérobic dans votre salon) contribue à entretenir le souffle. Les frileux seront contents : en hiver, privilégier le sport en salle ou à la maison, histoire de fuir les particules fines toxiques, émises dans l’air par la mise en route des systèmes de chauffage.
  4. “Merci… d’inspirer par le nez”
    Même si l’on n’a plus 5 ans, loin de là, on aime tous faire de la buée avec la bouche. Mauvaise idée : l’air parfois glacial de l’hiver est très peu apprécié des bronches, qui sur-réagissent automatiquement. On protège donc ses muqueuses respiratoires et son immunité en inspirant par le nez, y compris quand on court après son bus !
  5. “Merci… de respecter les gestes-barrières”
    Est-ce qu’on vous les cite pour les 248ème fois ? Non ! Mais pensez-y quand même, vu que ce satané Covid a réussi à devenir la bête noire du monde entier sans qu’on n’ait rien demandé à personne.