Quel âge avez-vous vraiment ?

Vous avez dit 56 ans ? Même pas vrai ! Jean-Marc Lemaitre vous le prouve par A + B dans un livre absolument captivant, dont les pages éclairent comme par magie le monde si obscur de notre vie cellulaire. PartAge a tout dépiauté pour vous mettre sur la voie de la jeunesse éternelle, en 3 points essentiels. Ne passez pas à côté !  

 

  • Votre âge n’est pas votre âge. Ne vous fiez pas à votre carte d’identité : votre âge dit “chronologique” n’a rien à voir avec votre âge “physiologique” (considéré comme votre âge réel), ni même avec votre âge “ressenti” (celui que vous pensez avoir, en fonction de votre apparence physique ou de vos hobbies, par exemple). Or, la science est aujourd’hui en mesure d’expliquer “qu’il existe une base biologique à ce ressenti et que le vieillissement biologique peut influencer cette perception”. On le sait : les PartAgeurs qui se sentent plus jeunes (dans leur tête comme dans leur corps) ont tendance à rester en forme plus longtemps. Pour autant, il n’est pas superflu de connaître son âge physiologique, intimement lié à l’état fonctionnel de notre organisme. Peut-on être sujet au diabète, aux maladies cardiovasculaires ou neurodégénératives en prenant de l’âge ? C’est lui qui le dit. 

   

  • Est-ce que ça se calcule ? Vous pensez bien que oui ! Vos meilleurs potes “nold” (pour “never old” / “jamais vieux”) de 45-65 ans l’ont peut-être même déjà fait. Soit via une analyse de sang suffisamment poussée pour détecter dans nos cellules les signes qui prédisposent à telle ou telle maladie liée au vieillissement ; soit via un spécialiste de la médecine du sport, disposant d’outils de mesure (comme les tests dynamiques) pour évaluer leur “état de vulnérabilité”. Quoiqu’il en soit, sachez que toutes – absolument toutes ! – nos habitudes de vie entrent en ligne de compte : l’alimentation, la pratique d’une activité physique, le fait de fumer ou non, le niveau de pollution auquel on est exposé, la qualité du sommeil… Rien n’échappe à l’âge physiologique (/ biologique).  

 

  • Du coup, je peux rester jeune ? Oui… à condition de piquer aux centenaires leurs secrets de longévité ! Les Grecs, Japonais et Sardes détiennent la palme, eux qui ont la chance de vivre dans ce que les scientifiques appellent “les zones bleues”. Quatre facteurs font office de piliers quant à cette jeunesse quasi-éternelle : le régime alimentaire, l’exercice physique, l’absence de stress et même le lien social ! 

À vous de jouer, donc ! 

Et n’oubliez pas : il n’est jamais trop tard pour gagner des années de vie !