Célibat is the new cool

À 30 ans, les parents demandent : “Et les amours, alors?”
À 40, les amis s’inquiètent : “Et le bébé, c’est pour quand?”
Et à 50 ou plus, on fait des jaloux : “Alors, c’est comment d’être seul.e?”
En 2022, exit l’image d’Épinal de la “vieille fille à chat” et du “célibattant” frustré : choisir de vivre seul relève de la félicité. Vous en doutiez encore ? PartAge a 3 arguments imparables pour vous aider à assumer la vie en solo.

  1. On est libre !
    Qu’il soit choisi ou subi, le célibat après 50 ans signifie en premier lieu ne plus avoir à dépendre d’une relation exclusive. Au contraire : on se recentre sur soi, on profite de son indépendance, on se libère des contraintes (à commencer par les exigences de l’autre). L’insouciance l’emporte alors sur les obligations de la logistique conjugale ou familiale. Et un vent de légèreté comme de dynamisme s’empare du quotidien.
  2. On se connaît mieux
    Vivre seul, c’est maîtriser l’orientation que l’on donne à son existence. Sans dépendre d’un schéma imposé depuis des siècles, l’homme ou la femme totalement affranchi.e a toute la latitude – et même le temps, ce luxe ! – de partir à la découverte de lui-même. D’aucuns parlent d’égoïsme ; chez PartAge, on préfère parler d’introspection.
  3. On ne croit pas à la fatalité amoureuse
    La France compte 9 millions de célibataires de plus de 50 ans (*), dont un tiers ont connu au moins deux unions. Les hommes sont les premiers à vouloir retrouver l’âme soeur (37%), là où les femmes aspirent à davantage d’indépendance (24%) ou à trouver un partenaire avec lequel partager les mêmes passions, quitte à reléguer le sexe au second plan.

Alors, ça donne envie, non ? Écrivez-nous quand même avant de divorcer !

(*) Source INED, 2021